Un antre numérique pour Le Novelliste

Le numéro #01 du Novelliste sera mis en vente cette semaine, le vendredi 8 décembre, mais d’ores et déjà il est possible de s’en faire une idée en visitant le site sur lequel la revue sera commercialisée (description, photos et extrait en PDF). Les curieux pourront également y prendre connaissance du contenu des deux prochains numéros et des projets associés du Novelliste pour l’année 2018. Une adresse à retenir, en somme.

 

C’est ici que l’on entre dans l’antre.

L’année 2018 commencera pour le Novelliste par la parution, en février, d’une anthologie thématique intitulée Quand l’amour déraille. Au programme, noires romances et mélos d’enfer signés Georges Eekhoud, May Sinclair, Lucie Delarue-Mardrus, Jules Lermina et Émile Masson. En avril suivra la réédition de L’Arche (1920), le grand œuvre lyrique et jubilatoire, à redécouvrir d’urgence, d’André Arnyvelde, écrivain français adepte du merveilleux scientifique. Mai verra la publication du Novelliste #02, fortement axé sur le pulp avec la première traduction française de The Wheels of if (1940) de Lyon Sprague de Camp et la présence en tant qu’invité dépoussiéreur de Pierre-Paul Durastanti pour la collection PULPS au Bélial’. En septembre, Horreurs boréales sera l’anthologie thématique de rentrée, avec au sommaire (entre autres) de longues nouvelles inédites en français de George Griffith, Harriett Prescott Spofford et Mary Elizabeth Braddon. Novembre verra la sortie du Novelliste numéro 03 proposant, outre la troisième et dernière livraison de Hartmann l’anarchiste, le roman d’Edward Douglas Fawcett, une nouvelle inédite en français de Robert Silverberg datant des années cinquante. Fabrice Mundzik sera notre invité dépoussiéreur, pour les éditions Bibliogs. Enfin, l’année se conclura avec la sortie en décembre de Mémoires d’un homme des cavernes (1908), roman préhistorique inédit en français de Peter B. McCord, illustré par l’auteur.

Les productions du Novelliste seront également en vente ici, sur le site des Moutons électriques, merci à eux !

6 commentaires sur “Un antre numérique pour Le Novelliste

      1. C’est une déformation de mère de famille. Tu penses que c’est fichu, que tu répètes pour des prunes, et un jour, quand les gamins volent de leurs propres ailes, tu constates que tout ce que tu as répété plusieurs milliers de fois est mis en application… c’est dingue, non ? ^^

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