Pensées centenaires de Karin Boye (5)

Un siècle jour pour jour après leur rédaction, traduction des notes rassemblées par la toute jeune Karin Boye dans son « recueil de pensées ».

 

Hier, 17 août 1917, Karin Boye notait dans son cahier :

Un livre ne devrait jamais être lu dans de courts intervalles ou lorsque l’on doit satisfaire aux nécessités de la conversation ou de mille autres occupations mineures. Bien comprendre un livre nécessite de s’immerger en lui. Solitude, silence et tranquillité sont parfois indispensables à une bonne expérience de lecture, et toujours à son avantage.

Prochaine entrée le 18 août 2017

Source : Samlade Skrifter av Karin Boye, 11 – Varia, Albert Bonniers Förlag, Stockholm, 1949.
Illustration : portrait promotionnel anonyme.
© Leo Dhayer août 2017

3 commentaires sur “Pensées centenaires de Karin Boye (5)

  1. Le livre, cet objet qui ne cesse de nous intriguer et dont nous parlons, parlons, parlons… sans jamais réussir à nous en lasser.
    (ma pensée du jour ^^)

      1. Oui, c’est possible. Dans la limite de mes connaissances, en tout cas, et probablement j’avoisine, en cumulant, un point culminant. ^^

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *