Hier, 7 juin 1917, Karin Boye notait dans son cahier :
Une confiance mutuelle sans réserve est la condition sine qua non d’un échange fructueux. Pour que celui-ci ait la moindre utilité, il faudrait que les deux parties ressentent spirituellement l’impression de se serrer la main. À défaut d’une telle entente, la compréhension s’amoindrit, entravée par l’embarras et le doute.
Prochaine entrée le 12 juin 2017
Source : Samlade Skrifter av Karin Boye, 11 – Varia, Albert Bonniers Förlag, Stockholm, 1949.
Illustration : portrait promotionnel anonyme.
© Leo Dhayer juin 2017