Le Novelliste #02 sera en vente début septembre

Manque de temps, avalanche de contretemps : Le Novelliste est victime, pour la sortie de son prochain numéro, des maladies infantiles de toute revue qui se crée avec beaucoup d’enthousiasme et peu de moyens. En attendant, paraît-il, quelques lectrices et quelques lecteurs s’impatientent, voire s’inquiétent… Qu'ils soient rassurés, avec nos plus plates excuses. Le Novelliste #02 sortira de l’imprimerie fin août et sera mis en vente sur le site dédié le lundi 3 septembre. Quant au sommaire du numéro 3, il est déjà bouclé et nous commençons à y travailler ‒ j’ose dire « nous », car une équipe se constitue petit à petit autour du noyau initial, ce qui devrait à l’avenir limiter les retards. Pour faire patienter les foules aussi innombrables que fébriles, voici déjà la couverture définitive et le sommaire détaillé de ce numéro 2, ainsi qu’un aperçu de celui du numéro 3.

 

Au sommaire du Novelliste #02, septembre 2018

Vous avez dit ‘pulp’ ? blabla liminaire de Leo Dhayer, illustré par Heinrich Kley.

V.A.M.P.I.R.E. (Vous Avez Même Pas Intégré Roll Eichner), nouvelle de Christian Vilà, illustrée par Thierry Cardinet.

Cherchez la femme ! (1917), nouvelle de Carolyn Wells, traduite par Noé Gaillard, illustrée par Frederic Dorr Steel.

Mes premiers pas d’écrivain (1894), article d’Arthur Conan Doyle, traduit par Leo Dhayer, illustré par George Wylie Hutchinson.

Le second voyage de Hakem, nouvelle d’Alex Nikolavitch, illustrée par Brigitte Dusserre.

Visite au mort illustre (1987), nouvelle d’Alain Dartevelle, illustrée par Richard Müller.

Alain Dartevelle et le langage des simulacres, article de Dominique Warfa, illustré par Christine Luce.

La pièce manquante, nouvelle d’Élodie Serrano, illustrée par Jean-Jacques Tachdjian.

Les rouages du destin (1940), novella de Lyon Sprague de Camp, traduite par Leo Dhayer, illustrée par Hannes Bok.

La collection PULPS : « Ne connaître que le présent éternel de la SF, quel intérêt ? », interview de Pierre-Paul Durastanti par Lionel Évrard, illustrée par Earle K. Bergey.

Karr Ouach’, nouvelle de Ketty Steward, illustrée par Jean-Emmanuel Aubert.

Élévation (1894), nouvelle de Mary Elizabeth Braddon, traduite par Nellie d’Arvor, illustrée par Hilma af Klint.

La fiction à deux sous, article de Christine Luce, illustré par Heinrich Kley.

L’amour est un vers solitaire, nouvelle de Jacques Barbéri, illustrée par Philippe Sadziak.

Hartmann l’anarchiste (1893), roman d’Edward Douglas Fawcett (2/3), traduit par Leo Dhayer, illustré par Fred T. Jane.

Soupçons d’avenir (1895), port-folio de Fred T. Jane, commenté par Leo Dhayer.

La vie de mon père, nouvelle d’André-François Ruaud, illustrée par Jérôme Lecuelle.

À vau-la-rue (1898), nouvelle de Camille Lemonnier, illustrée par Théophile Alexandre Steinlen.

Comment j’ai écrit ‘L’île au trésor’ (1894), article de Robert-Louis Stevenson, traduit par Roland Vilére, illustré par Georges Roux.

Rois et reines de la plume et du pinceau, notices biobibliographiques des auteurs et artistes ayant collaboré à ce numéro, par Leo Dhayer.

La page du Novelliste #02 sur le site dédié.

Au sommaire du Novelliste #03, décembre 2018

Le feuilleton du Novelliste : Vie et aventures de Dorcas Dene, détective, de George R. Sims (que l’on retrouvera dans chaque numéro impair, en alternance avec le Roll Eichner de Christian Vilà dans chaque numéro pair).

Le roman à suivre du Novelliste : Hartmann l’anarchiste, troisième et dernière livraison du roman d’Edward Douglas Fawcett, dans laquelle un déluge de feu s’abat sur Londres.

La novella inédite du Novelliste : Les cinq fioles (The five jars, 1922) de Montague Rhodes James, unique texte à destination de la jeunesse jamais écrit par ce maître de l’angoisse. Jugé à l’époque « trop effrayant » par les parents des chères têtes blondes auxquelles il était destiné, il ne connut pas le succès qu’il méritait pourtant. Un bijou de « faerie » à l’anglo-saxonne.

Les nouvelles contemporaines : Nelly Chadour, Yves Letort, Christine Luce, Didier Pémerle, Sylvain-René de la Verdière.

Les nouvelles de littérature ancienne : If the dead knew, de May Sinclair ; The Judas Valley, de Robert Silverberg ; L’aubergiste, de Renée Dunan.

L’invité du Novelliste : Fabrice Mundzik et les éditions Bibliogs.

Le port-folio du Novelliste : The romance of modern London, déambulation nocturne dans le Londres des années mauves, rédigée et brillamment illustrée par Fred T. Jane.

Articles : Mon premier livre, de George R. Sims ;  Femme ou automate ? de Dinorben Griffith ; Renée Dunan e(s)t Georges Damian, de Noémie Gurvend.

 

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